mardi 16 mai 2006

Marche, le vent te dira.


Fiston, rappelle-toi que notre ombre veillera sur toi
où que tu ailles
,
quoi que tu fasses, à quoi que tu rèves.
Joue encore.
Chaque automne, les feuilles t'attendront.

Tes rèves, nous les chérirons.
Des vapeurs de nous viendront encore
caresser tes mèches grises,
dans longtemps, longtemps.

Pense au vent, pense au soleil,
le ressac.
Ne te sens jamais seul.
Ce sera nous.
DL

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Petit Titou........
Lolo ne sera pas loin non plus. Rendez vous sur la plage avec ou sans sardines.

Anonyme a dit…

Bravo !