mercredi 31 mai 2006

Longue vie aux papillons


Longtemps, longtemps, longtemps après que les poètes aient disparu...
La voilà la nouvelle: même si la poésie en vers tend à se faire rare, les murs de Paris recellent encore de petits trésors que les enfants auront encore un moment le plaisir de contempler en flânant.
Un remerciement au passage à cet artiste de la publication assistée sur un mur.
Bien loin des maladies nosocomiales, elle est là, la voie de la guérison: les petits plaisirs qui amendent les rèves. On voit bien là que tout ne se réduit pas à transmettre un portefeuille d'actions. C'est grâce à ceux-là que vieillir est moins pénible.
Il en reste des gens capables d'oeuvrer dans l'inutile pour donner un point de chutte à l'oiseau bleu. Inutile l'oiseau bleu?
A celui-là, un grand salut respectueux.
bien à vous,
DL

2 commentaires:

Anonyme a dit…

suprbe !! où l'as-tu trouvé ?

Desire Lecoq a dit…

Cher Kar, les rues de Paris foisonnent de trésors. Celui-ci se trouve face à l'école de chimie de la rue Pirandello. Tu sors de la station de métro Campo-Formio, tu passes par la rue...Titien, fais le tour du carré des sports de l'école et arrives devant des oeuvres superbes de poésie sur des friches murales dont certaines des stucs du 18è s..
Bises.
Au fait, je t'avais répondu mais sur ton site à toi!!
Bien à toi,
DL